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Elon Musk travaille sur TruthGPT, une « IA maximale qui

Elon Musk travaille sur TruthGPT, une « IA maximale qui recherche la vérité »


Elon Musk a partagé de nouveaux détails sur sa riposte à

ChatGPT
, une plateforme d’intelligence artificielle qu’il a baptisée TruthGPT et
qui vise à concurrencer les offres de

Microsoft
et de

Google
. «

Je vais lancer quelque chose que j’appelle « Truth GPT », une IA qui
cherche à comprendre la nature de l’univers

», a déclaré le milliardaire lors d’un entretien sur Fox News.


Selon lui, TruthGPT «

pourrait être la meilleure voie vers la sécurité, dans le sens où une
IA qui se soucie de comprendre l’univers ne risque pas d’anéantir les
humains parce que nous sommes une partie intéressante de l’univers

».


Au cours des derniers mois, l’entrepreneur aurait approché des chercheurs
en IA pour développer une alternative à ChatGPT, le chatbot très médiatisé
créé par

OpenAI
. La semaine dernière, on a appris qu’Elon Musk avait déposé les statuts
d’une entreprise appelée

X.AI
, dont le siège se trouve dans le Nevada (Etats-Unis).


Ces initiatives sont intervenues juste avant qu’Elon Musk ne signe, en
compagnie d’autres sommités de la Tech, une

lettre ouverte
appelant à une pause d’au moins six mois dans le développement de l’IA en
raison des « risques profonds » qu’elle ferait peser sur la
société.


Elon Musk évoque le pouvoir destructeur de l’IA


Au cours de l’entretien avec Fox News, le grand patron a réitéré ses
préoccupations de longue date concernant le potentiel pouvoir destructeur
de l’intelligence artificielle : «

L’IA est plus dangereuse que, disons, une conception d’avion ou une
maintenance de production mal gérée ou une mauvaise production de
voitures

», estime-t-il. «

Elle a le potentiel, aussi faible que l’on puisse considérer cette
probabilité, qui est non négligeable, de détruire les civilisations

».


Lors d’une interview en 2014, Elon Musk avait exprimé des inquiétudes
similaires quant à la rapidité des progrès de l’IA. Il a pourtant lui-même
promu, cette technologie. En 2015, il a cofondé OpenAI, l’entreprise qu’il
cherche aujourd’hui à remettre en question. Il en a été le président
jusqu’en 2018, date à laquelle il s’est retiré, en raison d’un conflit
d’intérêts. Il a depuis coupé les ponts avec OpenAI.




Article de CNET.com adapté par CNETFrance


Image Une : James Martin/CNET


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