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Netflix et Prime Vidéo : 3 films de fin du monde pour

Netflix et Prime Vidéo : 3 films de fin du monde pour déprimer (ou pas) ce weekend



Vous connaissez l’expression « foutu pour foutu » ? Mais si c’était réellement foutu ? Si la population globale était menacée d’extinction pour diverses raisons et que presque rien ne pouvait empêcher la catastrophe ? Glaçant, n’est-ce pas ? Histoire de vous mettre dans le bain, la rédaction de CNET France a épluché les catalogues de Netflix et Amazon Prime Video et vous a déniché 3 films qui sentent bon la fin des temps. Un weekend plein d’optimisme sur nos platesformes de streaming SVoD préférées, donc.

Ce soir, on essaie d’échapper à la destruction de Los Angeles dans 2012, on tourne en ridicule les discours d’astronomes annonçant l’arrivée d’une comète dans Don’t Look Up : Déni cosmique, et on tronçonne des requins avant qu’ils bouffent tous les humains dans Sharknado 5 : Global Swarming

Quels films regarder sur Netflix et Amazon Prime Video ce weekend ?

2012 : le réalisateur d’Independence Day détruit la planète (Netflix)

Synopsis

Les Mayas, l’une des plus anciennes civilisations, avaient prédit la fin du monde pour 2012. Une théorie que peu ont pris au sérieux jusqu’à ce que l’année fatidique approche. Soudain, de gigantesques séismes se mettent à détruire tous les continents et des millions d’individus cherchent un moyen d’échapper à la catastrophe. Mais combien y parviendront ?

L’avis de CNET France

On connaît le goût de Roland Emmerich pour les catastrophes, qu’elles soient extraterrestres comme dans Independance Day ou naturelles comme ici. En s’emparant de la peur de la fin du monde, le réalisateur nous plonge en plein cauchemar où l’humanité ne semble avoir aucune échappatoire.

Si le scénario ne brille pas particulièrement, 2012 vaut évidemment pour son visuel. Pendant plus de deux heures, les images impressionnent, provoquant une tension de chaque instant dans la pure tradition du Blockbuster qui explose tout sur son passage.

On vit ainsi le métrage comme une grosse attraction qui nous bouscule dans tous les sens au même rythme que l’enfer vécu par ses personnages. Des personnages que le cinéaste ne sacrifie pas sur l’autel de son film catastrophe en restant toujours au plus près d’eux, creusant leur psychologie face à des événements dramatiques.

Alors certes, c’est un brin prévisible, mais on ne peut pas mentir sur l’aspect grand spectacle de l’ensemble, de ceux qui nous avalent dans un tambour de machine à laver lancé à cent à l’heure et qui nous recrachent, lessivés. L’un des films du genre les plus marquants de ces vingt dernières années. 

  • Une bande-annonce qui ne laisse aucune échappatoire :

Don’t Look Up : Déni cosmique : la fiction devenue réalité (Netflix)

Synopsis

Deux astronomes partent en tournée médiatique pour prévenir d’un désastre imminent : une comète fonce vers la Terre et l’humanité n’a plus que peu de temps à vivre. Mais est-ce réellement ce qu’il va se passer ?

L’avis de CNET France

De l’aveu du réalisateur Adam McKay, l’idée de Don’t Look Up : Déni cosmique a germé bien longtemps avant que le film ne sorte sur Netflix. Et c’est peut-être le plus grand problème du film, lorsqu’il débarque sur la plateforme, la réalité a quasiment rattrapé la fiction.

Quand on dit problème, il ne faut pas entendre cela comme un défaut, mais ce qui se présentait comme une œuvre d’anticipation se rapproche soudain du documentaire. L’exagération et le côté parodique de ce Déni cosmique a alors du mal à faire rire puisqu’il se voit maintenant comme une réalité glaçante.

C’est là finalement que le film brille le plus, dans cette espèce de mélancolie qu’il provoque, comme si cette absurdité était inéluctable, portrait fou d’une humanité qui n’en a plus que le nom. C’est une satire brillante et sombre d’une société à l’abandon.

Pour jouer la farce, le cinéaste fait appel à une pléthore de comédiens dont le talent n’est plus à prouver et qui porte le mot et la bêtise avec délectation. Leonardo DiCaprio en astronome raté, Meryl Streep en Présidente cynique ou Mark Rylance en faux Elon Musk… tout le monde en prend pour son grade et on a qu’une envie : vite, que la fin du monde arrive.

  • Une bande-annonce qui rappelle le quotidien :

Sharknado 5 : Global Swarming : Les Dents de la Terre (Prime Video)

Synopsis

Après la destruction des États-Unis, Finn et ses amis voyagent à Londres. Mais la tempête de requins menace désormais le monde entier et personne ne sera à l’abri.

L’avis de CNET France

Comme le dit l’adage, plus c’est … plus c’est bon ! Et avec ce cinquième opus, la saga Sharknado, plus gros succès des productions The Asylum, franchit encore un palier qu’on ne pensait même pas exister.

Difficile de faire plus fauché, mais difficile de faire plus généreux. Sharknado 5 : Global Swarming, c’est du grand n’importe quoi qui n’a honte de rien et y va les deux pieds devant. Alors forcément, un tel concept ne pouvait pas se limiter aux seuls États-Unis d’Amérique.

Sharknado part donc en mode road trip, toujours avec Ian Ziering et Tara Reid en casseurs de squales. Les requins pleuvent et les façons de les tuer (ou de les chevaucher) aussi. Si on pouvait penser que la licence arriverait à bout de souffle très vite, ce cinquième épisode prouve que tant qu’il y a de la bêtise chez les scénaristes, il y aura des tempêtes de requins.

Forcément, le métrage n’est pas à conseiller aux adeptes du bon goût et des effets-spéciaux qui ne piquent pas les yeux, mais cela n’a jamais été la spécialité de la saga et elle s’assume toujours très bien ainsi. On sait ce qu’on vient voir : une fin du monde aussi ridicule que fun.

  • Une bande-annonce qui balance le grand n’importe quoi : 


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